Le troubles des Isards
Luit au revers des barres
– Lumières – Baguettes automatiques
– Barrières
Regards de faïences
A l’enclume – creux de mes rêves
Qui fait de nos corps polis
Toujours un rêve
Puis
De la robe andalouse
S’épanche nos retrouvailles
– Un baiser
Tes yeux, encore, et un café.
Retroussement de tes mots
Au flancs des agapanthes
Jardins endormis
Quand la lueur, à la bougie
De la nuit – se dilue
Avec le cri des singes
Crient – il combien je t’aime
Ou bien fuient – ils comme
Tes élans
Exquisément
Chassés
Par ton cœur engourdi
Engourdissement du lac
En hiver – Gavarni
Ton cœur revient de la guerre
Repu et non amer
Aux guerres lasses
L’amour trépasse
Trémière pensée de
Ma rose en – deçà de
La cause de Toi
Trémière passée sous
Des pieds errants
Chiens des amours blessés
Les Pétales meurtris
A l’ombre des migratrices
Commémorations
Fondent tes battements
Dit le trouble des Isards
Quant aux fixation des sommets
Toits aux ambitions illimitées
Que la vie te hisse à résoudre
Mathématiques idées
Questions rampantes
A la nuit tombante
Sommets de divinités
Forgés à des milles et une lieues
Du roulis journalier
– Souliers paysages
A cela, tu empruntes
Paquetage au dos
Combien soit-il
Alourdi
Des étreintes taries,
Les sillons massifs
Histoires à écrire
Anse de tes secrets.
Trouble des Isards – Lausha
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