Mes quatre saisons préférées ! 4ème partie : “L’automne” – Rémi Guillet

Mes quatre saisons préférées ! (texte publié en 4 parties) Partie 4     L’automne   Avec toi qui t’imposes à moi comme une loi des plus naturelles, quand l’été semble à coup sûr achevé… Un cycle se termine et il me semble bien avoir eu, dans mon jeune for intérieur,  comme l’envie d’en revenir … Lire plus

Mes quatre saisons préférées ! 3ème partie : “Le printemps” – Rémi Guillet

Mes quatre saisons préférées !  (Publié en 4 parties) Partie 3     Le printemps   Bien sûr avec toi mon printemps tout est vécu ici, je prends plaisir à le redire, comme une ascension, une montée qui aspire vers “un plus” que l’enfant ne cherche à exprimer mais ressent pleinement comme un temps qui … Lire plus

Mes quatre saisons préférées ! 2ème partie : “L’hiver” – Rémi Guillet

Mes quatre saisons préférées ! (Publié en 4 parties) Partie 2     L’hiver   Toi mon cher hiver avec tes petits et vrais bonheurs tout aussi authentiques mais quelque part opposés, car plus intérieurs et feutrés…   Ce sont les souvenirs d’une douce chaleur venue du foyer presque avare de son feu dans notre maison … Lire plus

Mes quatre saisons préférées ! 1ère partie : “L’été”- Rémi Guillet

Mes quatre saisons préférées ! (texte publié en 4 parties) Partie 1   Prologue   Je dois ces quatre petits textes à mon enfance rurale, juste après la guerre dite deuxième et grande, dans cette île que j’ai adorée ; peut-être pour mieux m’en éloigner, alors que nos journées étaient encore dictées par ce que la … Lire plus

Retour des chants – Christian Satgé

Chanson gaillarde Cycle toulousain   Quand vendemias ou segadas sont terminées, Tot le vilatge fait chauffer ses cheminées Pour restaurer la compagnie des hommes las Qui ont tous bien mérité de se sustenter – Les ventrus, les bourrus et mêm’ les échalas – Attablés ensembles vont rigoler et chanter : « La terre est basse, … Lire plus

L’ânier sans condescendance – Christian Satgé

      Petite fable affable   Le Roger est tourneboulé : son seul fils, N’aime pas sa ferme, riche de maïs, Ni les durs travaux des champs, pourquoi le nier. Il s’en ouvre à son père, qui fut ânier, Homme des plus sages qui l’a fait prospère. L’Ancien qui vit sous son toit toujours … Lire plus