Sentiments indicibles – Jean-Luc Léonet

A l’ombrage de chênes centenaires

Aux abords d’un ruisseau enchanteur et scintillant

Telle deux amants allongés dans la tendresse de la nature

Nous nous aimions

En ces moments de plaisirs indicible

Afin d’exprimer l’un à l’autre l’effluve de nos sentiments

Dont les flots tumultueux surgissent semblable à un torrent

De l’abîme de nos cœurs enflammés

Nos regards s’entrecroisent âtre de passion et de désir

Où scintille d’une volupté ineffable la flamme de cythere

Antre de plaisirs,  foyer de sentiments intenses et confus

Tels les cieux s’embrasant de toute part

N’est il en cette existence aveux d’amour plus déchirant

 

Jean-Luc Léonet

 

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Jean-Luc Léonet

Jean-Luc Léonet (8)

Né le 08 octobre 1970 dans la petite commune de Confolens en Charente, est vécu mes premières années dans la ville de Brunoy en Essonne où j'ai été victime à l'âge de 2 ans d'un grave accident domestique. J'ai été brûler au 3ieme degré donc j'ai passer pas mal de temps à l'hôpital Trousseau de Paris. J'ai continuer mon adolescence à Angoulême passant par pas mal d'établissement scolaire, en premier à l'âge de 7 ans l'école Jules Ferry suivi du Collège Saint-Paul. C'est là que j'ai rencontrer mon premier amour, celle qui m'a donner envie de composer des poèmes soit Élisabeth Struduick. Je la cite car après ce Collège je l'ai perdu de vue et je pense qu'étant Anglaise, elle est retourner dans sont pays et suis sortie de sa mémoire mais si par hasard mes poèmes lui parvenait j'espère revenir dans ses pensées. Après Saint-Paul je suis passer au LEP Saint-Joseph où j'ai suivi des études de comptabilité, j'ai peu de bons souvenirs de ma vie d'étudiant ayant été notamment victime de harcèlement aussi bien de professeurs comme à Saint-Paul que de camarades. Après un bref séjour au 20ieme Régiment d'artillerie de Poitiers pour mon service national je suis rentré dans la vie professionnelle en Centre de Tri Postal comme contractuel. J'ai exercer divers postes comme manutentionnaire, agent de tri puis rarement encadrant, à la fermeture du centre de tri je suis devenu facteur à Mansle toujours en Charente. Entre temps, là aussi victime de harcèlement puis ayant vu nombre de mes candidatures pour des fonctions entraînant des promotions refusé sans aucune explications , j'ai été de nombreux mois en longue maladie dont quelques uns interner au CHS Camille Claudel dans la Commune de La Couronne. A mon retour à la vie professionnelle j'ai été licencier sous un motif déguisé car véritablement La Poste ne voulait pas se fouler pour trouver un poste adapté à un Handicapé, statut que j'ai obtenu plus tard. Après quelques années au chômage où j'ai vu plus d'une centaine de mes candidatures rester lettre morte et me voir accuser par Pôle emploi de ne pas rechercher de travail. Je me suis retirer de cette agence, j'ai suivi mes parents tout deux à la retraite dans le village natal de ma mère Alloue où je vis de mon statut d' handicapé . Certes peu mais une vie de bohème comme certains Poète inconnu à travers les siècles.

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Jean-Marie Audrain
Modérateur
19 mai 2025 19 h 10 min

Poème magnifique qui va faire des jaloux tant cet amour est en effet indicible…sinon par la poésie !