Je ne serai jamais le grand Victor Hugo
Pas plus qu’un jour je deviendrai Arthur Rimbaud.
Je suis et je le serai toujours, rien que moi
Même si l’on apprécie mes textes autour de moi.
Je ne saurai jamais écrire comme Jacques Prévert
Pour qui, à l’école, j’ai beaucoup aimé les vers.
Même si des personnes aiment mes textes autour de moi,
Je suis et je le serai toujours, rien que moi.
Je ne ferai plus de fables comme Jean de La Fontaine
Même si j’en ai rédigé une en classe de 3ème.
Je suis et je le serai toujours, rien que moi
Même si des lecteurs aiment mes textes autour de moi.
Je vis dans une rue appelée Charles Baudelaire.
Tous, vous allez sans doute penser : “Il faut le faire !”
Mais malgré peut-être qu’il m’inspire, malgré cela,
Je suis et je le serai toujours, rien que moi.
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Chacun de ces poètes cités doit penser, là où il est : “nous t’aimons parce que tu es toi qui ne nous as pas oubliés” ! Merci pour ce partage émanant d’un personne sage !
Être soi et rien que soi
Tenace le rester
Résister aux influences
En disant non à paraître
Votre texte parle avec pertinence Odile.
L’on peut apprendre de tout ceux en qui l’on voit des grands car l’on a fait d’eux des ‘plus’ grands.
Cependant, l’on ne devrait vouloir être eux.
Bravo Odile. Ne perdez jamais votre originalité et unique manière d’être avec votre plume.
La poésie est diversité.
Il faut absolument rester rien que vous Odile et chacun apprécie beaucoup vos écrits