Moins 20 % sur les clés de l’orthographe – Sandrine Marcelly

Bonjour,

À votre avis, quelle est l’erreur si je vous dis que je propose moins 20 % de réduction sur les deux recueils des clés de l’orthographe ?

Pas sur le prix, si vous allez voir mon site www.abcorrecteur.fr, vous verrez que la version papier est bien à 12 € au lieu de 15 €, et la version numérique à 4 € au lieu de 5 €.

L’erreur, c’est que « moins » et « réduction » font doublon, donc on ne peut pas les utiliser en même temps, quoi qu’en pensent toutes les agences de pub et leurs clients. Comme en maths, moins x moins = plus, « moins 20 % de réduction » suggère au contraire une augmentation de 20 %.

Donc je vous le redis sans erreur, cette fois : précipitez-vous sur mon site, les deux recueils des clés de l’orthographe bénéficient d’une remise de 20 % !

Pour mémoire, voici la 4e de couverture du tome 2 :

La carte que vous tenez entre les mains vous mènera à coup sûr sur la piste d’un trésor.

Que vous preniez une route directe ou des chemins de traverse, les secrets de l’orthographe, de la grammaire ou du vocabulaire vous attendent au cours de vos pérégrinations. Vous pouvez même les partager avec votre entourage sans jamais vous appauvrir !

Avec humour et des méthodes simples, ce second recueil des clés de l’orthographe vous accompagne, de rappels en découvertes, sur la voie royale comme sur des sentiers semés d’embûches pour explorer les richesses de la langue française.

Le plus beau compliment que l’on m’ait fait à leur propos ? « Sandrine, vos chroniques m’ont réconcilié avec le français. »

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Sandrine Marcelly

Sandrine Marcelly (66)

Un bac littéraire, des études de langues et de linguistique, une vie avec des livres dans les mains… Je suis une maniaque de la langue, des mots, de l’orthographe, au point que mes deux précédents employeurs m’ont chargée l’un de corriger son site internet avant de le mettre en ligne, l’autre de contrôler toute sa communication pendant 10 ans (newsletters, catalogues, plaquette, mails importants…)Je supporte de moins en moins de trouver des fautes dans des livres, des journaux, des publications sur internet ou ailleurs. J’avais donc 2 solutions : continuer à râler dans mon coin, sport national s’il en est, ou agir. J’ai testé la première, sans grand résultat. Je suis donc devenue correctrice relectrice indépendante, pour apporter ma pierre à l’édifice de façon constructive, parce que c’est tellement plus agréable de lire un texte bien écrit, sans fautes !

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