La fée vient, personne n’a pu la retrouver
Et les sirènes ne sont plus qu’une légende
Au tréfond de la confiance j’en rêvais
Au fond d’un lac mystère défiant le monde.
Les empreintes du temps rude et ses dérivés
Le soleil et les brises de lac infécondes
Essayaient de front maintes fois d’y arriver,
Et d’atteindre le fond en réveillant ses ondes.
Le temps essayait avec le vent qui frémit,
Les rayons forts et leurs tentatives ratées
D’ouvrir les paupières de ce lac endormi
Que par les fées, leurs bords étaient toujours hantés.
Soudain, le silence du lac s’évanouit
Quand le soleil se coucha et que tout changea,
Le vent se calma et se dissipa la nuit
Quand la force d’âme de mes mains s’y plongea.
Pointant vers le bas par des échos ondulants
Je pensais qu’elles me parlaient et confessaient,
Les vagues réagissaient en me révélant
La magie enfermant la sirène chassée.
Du grand secret du lac hanté des fées qui grondent
À chaque fois que j’y vais, la sirène est vue
Parmi les vagues de mes rêves qui m’inondent
Et me racontent des contes de déjà-vu.
c’est toujours joli à lire un conte… Cela nous rappelle un peu notre enfance