Un beau jour prochain, tous les trois, nous nous reverrons.
Pour que cela n’ait pas lieu, il n’y a pas de raison.
Nous nous reverrons un beau jour prochain, tous les trois
Et nous rattraperons le temps perdu, tu verras.
Chacun de nous devra faire des efforts bien avant
Mais je sais que cela ne sera pas évident
Pour toi car de ton côté, tu ne veux plus nous revoir.
Pourquoi petit bonhomme ? Par ces mots s’envole l’espoir…
Qu’il est encore loin ce jour attendu, espéré.
Le temps passe, le temps passera, le temps est passé.
Nous reverrons-nous un jour tous les trois petit bonhomme
Que nous avons quitté cinq ans déjà, haut comme trois pommes ?
Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés.
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Magnifique hommage d’impatience maternelle !
“Le temps s’en va, le temps s’en va, madame ! Las ! Le temps non ; mais nous nous en allons et tôt serons étendus, sous la lame : pour ce, aimons-nous, cependant qu’êtes belle” disait le poète ! Le destinataire de ce touchant partage ne le sait pas encore ! Merci de le rappeler !