À la couleur de nos jours sur la joie exquise
Sur l’oreiller parfumé d’extase et d’amour
Au-dessus d’un beau rêve qui se réalise
Et des brises portant la senteur au retour
Un essaim volant avec mon lointain désir
Un clin d’œil sur l’amour qui remue la rivière
Que je caresse avec les cordes de plaisir
Des regards discrets, ordres exaucés lumière.
Les souvenirs me visitent de temps en temps
Me submergent d’une rencontre rapprochée.
Au départ aux adieux des bouquets du printemps
Dans quelques au revoir, un « je t’aime »… caché
Un tatoue au nom de joie tout l’ardeur du cœur
Posé sur mes atouts comme baiser d’adieu
Arrosé le grand feu d’amour autour des fleurs
Des belles rosées sur la sainteté des cieux
Elle est là, elle n’a jamais quitté mon cœur.
Accrochée au parfum, à l’heure et à l’endroit
Dressant la chaleur en caressant le bonheur
Attaché déjà aux mois chassant tout ce froid.
Une rare exception à l’impermanence universelle !