Désormais, des kilomètres nous sépareront
A partir d’aujourd’hui. Quelle que soit la saison.
Pourquoi es-tu partie si vite ? C’est trop injuste.
Tu avais la vie devant toi. Ce n’est pas juste.
Tu laisses derrière toi ta famille et tes amis
Dont moi qui, depuis longtemps, en faisait partie.
Dorénavant, c’est une longue distance qui sera
Alors entre nous deux car toi, tu n’es plus là.
Dans la rue, le soleil continue de briller.
Je ne peux croire que tu es partie à jamais.
Dans quelques semaines nous reviendra le printemps
Avec ses jolis coucous que je cueillais enfant.
Restera en moi dorénavant, désormais,
Ton jeune visage qu’au grand jamais, je n’oublierai.
Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés.
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Vos mots le font vivant à jamais mais l’absence est cruel..
magnifiquement touchant…
comme je vous comprends.
“Dans la rue, le soleil continue de briller… reviendra le printemps”
Dans la nuit de son deuil, un rai de lumière d’espoir nous sourit.
Merci pour ce partage d’un texte touchant, Odile.
Très émouvante évocation du grand départ. Puisses tu te sentir toi-même éternellement regardée par ce visage aimé !