Il y eut une conversation sur l’appétit de l’âme
Va-t-en. Goût salé que celui de la morte.
Il ne faut pas parler d’elle
Si elle traîne ses sandales de cuir
Sur le sol ça fait des fantômes.
La reine qu’elle doit être je me demande sa bouche est toujours grasse comme tout ceux qui disent “l’absence trop riche pour que ça m’atteigne.”
Si j’en fait ma femme je devrais l’enfermer dans un sac coronaire pour ne pas la sentir froide dans le lit
Mon délire est cauchemardesque
J’ai perdu tellement ce cœur plein de venin.
Des asticots traînent dans la plaies
La morsure est serrée – comme disent les hommes os plus rien tout est permis passer la porte 51. Le miroir d’Alison.
Cette pute qui s’achète du temps pour le dernier bus et tousse après le chauffeur.
Une ceinture une seringue
Une écriture et un flingue
Je suis dans la zone de danger
Je voudrais me marier avec un extraterrestre beau pour m’enfuir
Pour toujours de cette vie giclée.
Jim Caroll est mort crise cardiaque
Derrière son bureau putain oh ne pas faire pareil…
Je suis triste de triste – je ne le rencontrerai jamais j’ai lu 3 fois “basketball Diaries “avec ma vie ça fait un joli 3 pièce déglinguée par la vie.
Tu n’as pas fini d’arriver me moque l’autre folle, je me sens d’aucun sang aucune lignée et je dois vivre en roi si je veux avoir le droit de dire j’ai fait de toi ma reine – sans argent je n’y arriverai jamais – tout est parti dans ma dernière mue. Tu voulais que je t’écrive pour rien.
Je sais plus le faire bien comme aimer. Jamais vivant sans souffrir. On dirait un post de Masoch. Est-ce l’âme là, on peut tout dire sur écran interposé maintenant, quel siècle fabuleux. Une pression directe comme la détente d’un flingue pour défourailler depuis ma fourrière a relique 90% pure. Que de la violence de la puanteur de moteur et du béton cassé. Rien tout est permis.
Je ne rêve que de m’y échapper ici chaque jour sentiment de plénitude.
Comme quand je m’endors près d’un arbre à l’écart et que le bourdonnement de la terre veille sur mes yeux clos déjà 20 ans que je nage dans ce fame. Je vous aime madame, mais ça n’ai ni dit vu ou lu. Aspiration à être aux yeux du monde.
Tout sur un écran d’ordinateur. Tu es sûr 99% des autres sont morts pour elle
Pour moi 7ieme mort partielle le gardien lion est bien là tout édenté a l’épuisement. J’ai la peau épaisse a force de toucher les murs le vide chante je chute, m’agrippe a une grosse grappe je m’enfuis encore sauvé. La vie aime ma compagnie elle m’a encore souri.
Violence drogue mort pédéraste vaincu avec des pierres et une clé. Ma langue fracturée de dire la vérité. Je démarre au fil. Me manque le calme du lac et son pastel rose à 4 heure du matin. Encore derrière la lourde un type gueule pas très longtemps. Grand bruit de chair rompue. L’âme réputé député et pute de la morte est repue. La vie fraude par le vide son passage pour demain.
Jim caroll : poète et musicien underground
Masoch : père du Masochisme