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Il pleut…
Le temps est d’accord avec ma tête,
Les averses sont mes larmes qui ne coulent pas,
Cela fait du bien : il pleut.
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Puis les nuages disparaissent,
Cessent les averses,
Je prends les chemins de traverses,
Et l’orage cesse.
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Puis le soleil réapparait,
Comme pour me consoler,
C’est une belle journée d’été,
Pour aller se promener.
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Avoir dans la tête plein de rêves,
Qui pour certains sans trêve,
M’aideront au réveil,
D’un long sommeil.
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Puis viendra la fraicheur de la nuit,
Qui abolira mes soucis,
Je me souviendrai des rires,
Reverrai les visages sourirent.
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Pas de cauchemar ce soir,
C’est une nuit noire,
Parsemée d’étoile,
Comme une grande toile.
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C’est le calme ultime,
Du plus profond de l’abîme,
C’est le repos de la nuit,
Pour le renouveau de la vie.
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Chérissons nos rêves et ils chasseront peu à peu leurs noirs concurrents. Poésie délicate et sensible nous effleurant comme de la bruine de printemps !