J’ai enlevé toutes les couleurs complémentaires de ma vie.
Je vis en moi seulement en noir et blanc
dans les tons de gris
vous n’imaginez pas non plus combien de nuances ce mélange austère cache
ce monochrome du l’espoir
à côté de le blanc sale du ciel et les sinistres réflexes du coucher du soleil
à côté de toutes les femmes vêtues en noir
qui cherchnte ses morts s’agenouillent par le virus
tu ne me croiras pas que je dors dans un lit de basalte blanc
au-dessus de moi, toutes les étoiles se prennent sourtout dans une danse effrayante de la mort
tu marches à travers mon rêve vêtue d’une robe grise
(par lequel j’observe – comme par le brouillard – ton âme terrifiée!)
“Très bien, vis ta vie en noir et blanc, moi-même, je ne peux pas!”
tu me dis et tu te perds sur une échelle, qui s’enfonce dans la nuit
où toutes les touches blanches et noires du piano, à son tour, s’enfoncent profondément dans le désert désolé du notre coeur…
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