Attention, illusions !
Dans ce monde où le réel et le virtuel ont tellement fusionné, où les esprits sont tellement influencés par des concepts abscons alibis de gens souvent mal intentionnés…
Dans ce monde mondialisé que des frontières un temps respectées et cause de guerres répétées, où nous devons naviguer faisant face à tant d’obstacles et autres récifs jamais suffisamment tôt annoncés…
Alors on ne peut qu’être baladé !
Elites, on se flatte un jour d’être encore un pays, le lendemain étant un autre jour ce sera un autre discours…
On se flatte d’un “PIB”, de sa croissance. Avec des comparaisons à en perdre la raison ! Ainsi l’immense Russie avec ses immenses richesses minières aurait un PIB inférieur à celui de l’Espagne adorable pays fait de soleil et de fruits longtemps à bas prix !
Mais de qui se moque-t-on ici ?
Et la belle France avec son immense dette chaque année augmentée qui serait pour l’Europe et après l’Allemagne, son modèle de croissance !
Mais de qui se moque-t-on, je le répète ?
Si tu es référence monétaire tu n’as qu’à actionner la planche à billet cet avatar de confiance pour tout vendre ou acheter (y compris ton âme) ! Monnaies de Grands singes qui ruinent les petits !
Oui réellement ta “richesse” ne devrait s’exprimer qu’en unité de confiance… et par troc uniquement s’échanger…
Mais revenant à l’essentiel, le PIB (produit intérieur brut), ce concept à base de gargarisme en hiver comme en été (qui confond valeur ajoutée issue d’une production industrielle susceptible d’exportation avec petit boulot de survivance ou même service de proximité), qui ignore la dette induite que l’Etat a dû engager pour en assurer le montant, cette dette ne devrait-elle pas être mentionnée systématiquement à tes côtés, jamais séparée, cher PIB pour te “charpenter”, te remettre dans ton contexte et ainsi te “crédibiliser” (paroles d’économiste qui se croît avisé ?).
Et dans le même temps les patrimoines nationaux mériteraient également une évaluation actualisée chaque instant, chaque année ! Impératif, non ?
Mais mon ami, souviens- toi, pour l’oiseau, seul compte
le grain de blé
Qu’il aura, encore aujourd’hui, su trouver !
Lui toujours en état de survie
De quoi, pour toi, différemment espérer, ou d’aventure, désespérer !
Mon si cher sosie…
Beaucoup le savent mais…. silence.