Ni toi, ni personne, n’aurait pu imaginer
Comment ta vie, ici-bas, se terminerait.
Tu faisais rêver tous les hommes. Toi qui étais
Si belle, toi qui incarnais sans peine la beauté.
Que s’est-il donc passé cette fameuse nuit d’été ?
Ta mort, si soudaine, tu ne l’as pas mérité.
Etant petite fille, tu t’appelais Norma Jean.
En étant femme, tu es devenue Marilyn.
Tu n’auras vécu que trente-six années sur Terre
Et ton triste départ restera un mystère.
As-tu été, comme on le dit, assassinée
Ou, tout simplement, t’es-tu alors suicidée ?
Nul ne peut encore le dire car nul ne le sait.
Ce soir,
Que ta pauvre âme tourmentée trouve enfin la paix !
Texte écrit par Odile Stonham @ Tous droits réservés.
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Des questions, mais une certitude : un ange comme elle, ne peut être qu’au paradis. Les vautours et tes anges n’ont jamais formé un beau mélange ! Merci pour ce partage, Odile !